Administration des unités connectées :

C’est un des modules principaux du superviseur.

C’est dans ce module que les unités connectées (téléphone, smartphone, tablette sous Androïde ou IOS) sont enregistrées :

  • Les unités utilisant un dialogue sms.
  • Les unités intérieures qui sont connectées au serveur par Wifi et qui ne nécessitent pas de réseau GSM (télécommandes).
  • Les unités extérieures qui demandent le réseau GSM.

Le nombre d’unités connectées est limité à 250 unités.

Pour chaque unité, trois grands secteurs de données sont disponibles afin d’adapter précisément les fonctionnalités de l’unité :

  • Le secteur d’identification et d’autorisation d’accès :
    • Des informations d’identification.
    • Le nom du majordome.
    • L’état de l’unité. Permet de rendre inactive l’unité sans pour autant la supprimer.
    • L’usage de l’unité, à savoir si elle est autorisée à communiquer par SMS, par Wifi ou par GSM.
    • Les options d’information sur les demandes envoyées.
    • Les codes de sécurités :
      • Un code sécurité pour certaines actions sensibles (Ex. Alarme).
      • Un code sécurité pour autoriser l’unité à passer en mode programmation et ainsi lui permettre de modifier l’ergonomie de l’interface. (Voir le chapitre sur l’application des unités connectée).
    • Les périodes d’autorisation. La période d’utilisation peut être Illimitée, correspondre à un nombre d’accès limité, ou à une période calendaire, ou une période horaire, ou certains jours. Elles permettent d’ajuster précisément les moments où l’unité est autorisée à accéder au superviseur.
    • Si l’unité est autorisée à se connecter en Wifi ou par réseau GSM, les paramètres d’accès à la base de données doivent être renseignés.
    • Un calcul de la clé d’identification est généré à la demande et peut être transmis à l’unité par email, sms, ou tout autre moyen externe au superviseur.
  • Le secteur d’autorisation des groupes (sous contrôle principale de l’autorisation d’accès):
    • Pour chaque groupe, le gestionnaire peut autoriser l’unité :
      • Simplement en accès sans visualisation, ni action (usage technique de l’application mobile).
      • En visualisation / action.
      • En sécurisant la visualisation et l’action par un code sécurité (groupes sensibles : ex. désarmement de l’alarme).
    • L’application mobile dispose dans l’espace « Pictogrammes » de sept écrans regroupant chacun 32 cases pouvant être associées individuellement à un groupe. Il est possible ainsi d’organiser selon la demande de l’utilisateur des accès directs à certaines fonctions. Il est conseillé d’associer les écrans par thème et de placer les groupes de base de façon intuitive dans les écrans, afin que l’utilisateur puisse naviguer aisément dans l’espace Pictogrammes.
    • Le gestionnaire peut visualiser chacun des écrans pour contrôler le résultat.
  • Le secteur d’information :
    • Pour chaque groupe, le gestionnaire peut autoriser l’unité à recevoir un sms, lui indiquant qu’une action particulière a été effectuée. 
    • Cette fonction est particulière intéressante à titre sécuritaire, dans la mesure où l’utilisateur est prévenu d’une action, quelle que soit la source du déclenchement (clic sur un écran ou interrupteur, lancement par le superviseur, demande d’une unité connectée).
    • Pour chaque action, l’information sera transmise ou non suivant l’état du groupe (0, 1, 01, all, nc).

Afin de faciliter le paramétrage, il est possible de dupliquer une unité, soit en totalité, soit par secteur. Dans le même esprit, dans le secteur des autorisations de groupe, les écrans peuvent être switchés.

Enfin, comme indiqué dans le chapitre sur les unités connectées, chaque unité, si son utilisateur à connaissance du code sécurité de programmation, peut modifier à sa convenance les affectations et adapter comme il le souhaite son application.

Dans ce cas le serveur sera également modifié afin d’avoir la même configuration entre l’unité et le superviseur.

Sur ce point, et étant donné les nombreuses possibilités offertes, il revient au gestionnaire du superviseur le choix de fournir le code sécurité de programmation à l’utilisateur.